11 Juin 2019
Cette fois-ci, j'ai eu la main heureuse... Il faut dire que cette brocante du lundi de Pentecôte est une des plus importantes de la région et mêle professionnels et particuliers. Il nous faut chaque année près de 5 heures pour venir à bout des 500 exposants et des kilomètres de déballage autour d'un étang ombragé ...
Mais là-encore, pas l'ombre d'une poupée Petitcollin ni d'un vêtement. C'est incroyable !
J'ai commencé par trouver la petite table de salle à manger rose, dont la forme très années 30 et son pochoir naïf m'ont séduite.
Je suis ensuite tombée en arrêt devant une boite en bien piteux état. Tous les petits éléments étaient en vrac à l'intérieur, son couvercle transparent était déchiré mais son potentiel photographique m'a sauté au visage.
Ce Chef Pâtissier a été offert à Noël 1985 à (ou par ?) Nina, comme l'indique une inscription au dos de la boite. Cette marchande de la maque Mob a été fabriquée en France et ça, je dois dire que je n'y suis pas indifférente !
Je n'arrive pas à distinguer ce qui est écrit sous l'autocollant Le Chef Pâtissier qui a été collé sur la précédente inscription. Ca m'intrigue !
J'ai ensuite découvert ce buffet très années 50 chez un charmant brocanteur, qui n'a pas eu l'air surpris de voir deux quarantenaires-presque-cinquantenaires tomber en arrêt devant ce meuble, le prendre en photo, puis, à l'annonce d'un prix plus que raisonnable, l'acheter illico, le tout en moins de 3 minutes !
J'ai laissé pour un ou une autre une ravissante dinette dont les assiettes étaient malheureusement trop grandes pour Marie-Françoise, un ensemble lit-armoire-chevet qui m'a paru un poil trop petit, une cuisine qui n'était pas à la bonne taille... Mais rien de rien en tissu : pas l'ombre d'une robe, d'une jupe ou d'une blouse de poupée !
J'ai seulement trouvé un petit tote-bag (qui est en fait un emballage de parfum) et deux porte-clés.